Être son propre instrument : sortir des méthodes pour incarner sa fréquence

Il n’est plus temps de tergiverser. Il n’est plus temps de rester figé.e dans une posture inconfortable, dans ce non-mouvement qui nous étouffe à petit feu. Le monde change, les énergies bougent, et chacun.e de nous est invité.e à reprendre sa juste place, non pas en suivant un modèle, une méthode ou une vérité extérieure, mais en se reconnectant à sa propre fréquence.

Pendant longtemps, j’ai cherché à apprendre encore et encore. À suivre des formations, à intégrer des outils, à alimenter ma non-confiance sous prétexte d’enrichir mes connaissances.Mais la vérité est ailleurs. Elle est en moi, dans ce que j’ai déjà vécu, déjà ressenti, dans ce que je vibre ici et maintenant.

Je ne suis pas une méthode. Je ne suis pas une promesse toute faite. Je suis un instrument vivant, qui agit au contact de l’autre, selon son besoin, au moment juste, quand elle ou il vient se connecter à ma fréquence.

C’est là, l’ouverture véritable. L’espace sacré où l’on se rencontre — pas pour se réparer, mais pour se révéler.

Ce chemin n’est pas celui de la facilité

Aujourd’hui, j’observe : Celles et ceux qui courent après le bien-être comme on cherche un pansement rapide à un mal qui crie plus fort. Celles et ceux qui, entre deux journées surchargées, n’ont « pas le temps ». Et puis il y a les autres, plongé.e.s dans des univers de croyances, de « vérités canalisées », de figures d’autres plans… Et parfois, ça fonctionne, parce qu’on y met une somme, de l’attente, de la foi.

Et au milieu ? Nous. Celles et ceux qui accompagnent vers l’intérieur, vers ce qu’il y a de plus nu, de plus vrai, de plus brut. Et là, souvent… il n’y a plus personne. Parce que ça demande : de la volonté, du courage, du temps et une profonde honnêteté envers soi.

Et pourtant, c’est là que tout commence.

C’est là que le cœur de nos maux peut enfin être entendu, accueilli, transformé.

Être soi, en toute simplicité

Ce que je respire, ce que je vis, ce que je rayonne : c’est cela ma fréquence.

C’est cela que je propose, sans promesse miracle, sans artifice. Car je crois profondément que chacun.e est responsable de son chemin, de ses choix, de la traversée qu’il ou elle souhaite faire.

Alors aujourd’hui, je cesse de chercher ailleurs.

Je cesse de douter de mon canal, de ma vibration, de ma manière d’être.

Je suis.

Et cela suffit pour contribuer à ma juste place, pour celles et ceux qui ressentiront l’appel.